Contes : Ca y est ! Le livre est édité

CONTES FANTASTIQUES PORTE-BONHEUR

Mon livre de « Contes fantastiques porte-bonheur » est maintenant publié ; il est écrit pour les adultes qui veulent encore rêver et surtout pour les enfants et adolescents. Il apporte à tous les lecteurs la foi dans la nature, l’optimisme à préserver dans toutes situations et le clin d’œil des autres dimensions.

 Vous pouvez me le commander, il vous sera dédicacé (25 euros avec les frais d’envoi ) ou contacter l’éditeur : www. editions-lacour.com

 Vous retrouverez aussi toutes les annonces des futurs stages sur le blog de sagesseancienne.

 A noter : 
 Exceptionnel ! un stage- mains est organisé sur deux jours consécutifs les :

 10 et11 septembre 2018
Il reste quelques places pour les personnes intéressées.

Le tao du feu est déplacé au lundi 30 juillet

Je serai présente :
 au festival de l’école de la vie du 23 au 25 septembre à Montpellier  et 
au salon bio d’Alès du 12 au14 Octobre.

Le GIGN taoïste : Groupe Initiatique des Géniaux Novateurs !


 Le mois d’Avril 2018 fut une période propice aux stages de tao, et vaillamment trois groupes d’Alchimistes et d’Immortelles sont partis à l’assaut de l’étrange Val des Nymphes, du terrible chemin cathare de Minerve avec son impressionnant Dolmen de Fades, du pic  de Bugarach, chapeauté cette fois, d’une curieuse soucoupe volante, toute de nuages violines…  Ces week-ends  ensemble sont toujours l’occasion de se confronter aux parts de nous-mêmes que nous préférons souvent ignorer et qui ont pour noms : peurs, émotions
enfouies, rejets et vieilles colères,  besoin de sécurité et de contrôle, acceptation de la différence des êtres de cette planète ! Venant en première ligne,   lucidité, humilité, rapport à l’autre et prise de conscience feront le premier  pas du cheminement initiatique ! Mais ce serait oublier  les  corps qui dansent leur  chi kong sous le soleil du matin, les exercices énergétiques,   la nature qui nous écoute bouger dans les trèfles et les herbes vertes, le mouvement en cercle  des mandalas que nous créons, de pierres et de feuilles et, tout autour de nous, les mille présences des oiseaux, des insectes, des fleurs. La force  malicieuse  des leçons de Merlin et les leçons de vie  à travers les  douze "portes"

d’Hercule étaient aussi magnifiquement au rendez-vous… Dans ces moments chamaniques, les animaux sauvages viennent nous visiter ! La biche à l’orée du bois tard dans la soirée à Bugarach, les rapaces et les huppes fasciées s’envolant de  branche en branche observant certainement les fourmis que nous sommes (mais Minerve a la chouette comme emblème) , jusqu’aux  dragons des portes au Val des nymphes…Très proches de nous et des  mondes invisibles, l’énergie des lieux nous a
parlé : trognes de platanes aux milles génies grimaçant,  roche-gardienne  du seuil  dans le ruisseau des Nymphes, rayon du soleil couchant venant zigzaguer sur l’autel des Templiers, le temps bref d’une lumineuse minute  à  fixer en image, ombres entrevues au crépuscule des châteaux cathares…


Mais aussi  quelques beaux fous rires et mésaventures ! «  La curiosité de Lauriole »  nous a bien fait courir (mais elle n’avait de curieux que le nom !) et chercher l’impossible mirage d’un chemin qui monte et ne  fait… que descendre !  Le franc-parler de la guide haute en couleurs  de la maison de l’abbé Saunière, qui nous raconte, gouailleuse, le regard un peu en coin, avec un bel accent de Marseille et de grands gestes de mains que  «  Le  trésor du curé eh bé ! Il l’a bien gagné,  té ! Mais pas comme vous croyez ! C’est que l’abbé Saunières, il était   bel  homme, vous savez  et il savait y faire avec les belles dames fortunées : elles lui ouvraient leur porte-monnaie, c’est ça la vérité ! » Quant à la première bulle de Limoux… Un chauffeur cool,  de grosses gouttes d’eau  mais pas de bulles pour ce dimanche pluvieux !  Une prochaine fois !
Le Val des Nymphes, lui, nous l’avons beaucoup, beaucoup  cherché ! Conte de fées  moyenâgeux, il se dissimule  au creux du mystère de chênes centenaires,  dans un enchevêtrement de branches serpentines, protégé par  des créatures fantastiques qui se devinent,  dans les contorsions des vieux bois… Culte ancien et vénéré de la déesse-mère, on y retrouve la même dimension de sacré qu’au magnifique dolmen des Fades et l’on ne peut que rester silencieux devant la dimension surnaturelle de ces endroits et s’imprégner de  cette puissance sacrée…

 Merci à toutes et à tous d’avoir accepté le jeu du tao et, pour les futurs taoïstes, je souhaite que ces quelques lignes leur donnent envie de nous rejoindre ;  j’allais oublier  mes félicitations aux cuisinières car nous avons mangé des  plats qui me laissent sans voix !
 
grimpette au menhir de Lussan, s’il fait beau ; bonne humeur assurée, et pique-nique  à prévoir !
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